ROCKY LE BASQUE DE LANDA GORI :Chasse la bécasse montagnes ALPES !..
Actualité publiée le 18/01/2023
ROCKY LE BASQUE DE LANDA GORI
Rocky Le Basque , Exceptionnel Pointer Bécassier.
"....... Rocky Le Basque de Landa Gori de l’élevage de Marquestaut Jean-Roger est prédisposé
pour la recherche de la bécasse. Toujours seul avec lui, je perçois ses comportements
caractéristiques selon le biotope et la position de l’oiseau lorsqu’il le bloque.
Pointer male, il hume son effluve, le terrain trempé et la distance ne sont pas un handicap. Au fur et
à mesure de sa recherche, il agrandit son cercle pour la bloquer avant qu’elle ne s’envole.
En cette chaude et belle matinée, la première arrêtée s’élève immédiatement derrière un clair
buisson. Par chance je me trouvais derrière lui et pouvais la tirer. Elle se révèle être une jeune d’à
peine deux cent quatre-vingt grammes.
Les rayons du soleil traversent les pins et illuminent la clairière où Rocky se dirige vers un ancien
muret dont des pierres sont tombées sur le sol d’où elle s’envole. Il se précipite entre les ronces et la
saisit dans l’herbe touffue. Cette jeune mordorée pèsera deux cent quatre-vingt-dix-neuf grammes.
Près de deux kilomètres séparent les deux tènements où elles se cachaient. Nos deux heures de
recherche sont suffisantes. A notre retour à la voiture, qui n’est pas garée très loin, il s’abreuve
abondamment et apprécie à nouveau les récompenses.
Nous empruntons à peine la plate piste au-dessus de Sospel. La clochette ne tinte plus. Surpris par
son vol, je me retourne et tire, aveuglé par l’intense soleil, où un nuage de plumes explose dans l’air.
Rocky s’en empare. Très étonné par l’évènement, je place le bracelet numéro trois et perce le mois
et le jour du carnet de prélèvement bécassier. Cinq autres différentes mordorées sont découvertes
en cette belle et fructueuse matinée. La brume n’a heureusement pas envahi cet environnement et
s’est accrochée à celui méridional. La sixième s’élève au-dessus de sa tête dans une végétation très
propre. Son poids sera de trois cent cinquante sept grammes. Il sera de trois cent dix-neuf grammes
pour la troisième. Jeunes de l’année elles aussi.
Dix jours après, en ce chaud mois de décembre, d’une longue et large remise elle monte dans le ciel
après qu’une s’enfuit à quelques mètres et quelques minutes avant elle. Au ras du sol, je ne tire pas
ne sachant pas où Rocky se trouve, immobile près de la seconde donc. Encore une jeune de l’année
de trois cent cinq grammes. Une troisième s’enfuira loin, ne le laissant pas s’approcher de sa cache.
La veille de Noel, au bord de la piste, il se statufie et pénètre sous un clair buisson d’où elle s’envole
devant lui. Il la rapporte très vite, aucun obstacle visuel n’ayant caché sa vision. Cette jeune de
l’année pèsera trois cent vingt-six grammes.
A ce jour, Rocky Le Basque a arrêté vingt-quatre bécasses vues, la dernière entendue s’envoler
bruyamment à quelques mètres derrière une butte ! Etant toujours au contact et n’élargissant sa
quête que pour bloquer un oiseau qui a été décelé, peut-être que deux ou trois d’entre eux se sont
échappés, invisibles."
Maulandi Jean-Pierre (Académie Poétique Provençale) (Janvier 2023).
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Rocky Le Basque , Exceptionnel Pointer Bécassier.
"....... Rocky Le Basque de Landa Gori de l’élevage de Marquestaut Jean-Roger est prédisposé
pour la recherche de la bécasse. Toujours seul avec lui, je perçois ses comportements
caractéristiques selon le biotope et la position de l’oiseau lorsqu’il le bloque.
Pointer male, il hume son effluve, le terrain trempé et la distance ne sont pas un handicap. Au fur et
à mesure de sa recherche, il agrandit son cercle pour la bloquer avant qu’elle ne s’envole.
En cette chaude et belle matinée, la première arrêtée s’élève immédiatement derrière un clair
buisson. Par chance je me trouvais derrière lui et pouvais la tirer. Elle se révèle être une jeune d’à
peine deux cent quatre-vingt grammes.
Les rayons du soleil traversent les pins et illuminent la clairière où Rocky se dirige vers un ancien
muret dont des pierres sont tombées sur le sol d’où elle s’envole. Il se précipite entre les ronces et la
saisit dans l’herbe touffue. Cette jeune mordorée pèsera deux cent quatre-vingt-dix-neuf grammes.
Près de deux kilomètres séparent les deux tènements où elles se cachaient. Nos deux heures de
recherche sont suffisantes. A notre retour à la voiture, qui n’est pas garée très loin, il s’abreuve
abondamment et apprécie à nouveau les récompenses.
Nous empruntons à peine la plate piste au-dessus de Sospel. La clochette ne tinte plus. Surpris par
son vol, je me retourne et tire, aveuglé par l’intense soleil, où un nuage de plumes explose dans l’air.
Rocky s’en empare. Très étonné par l’évènement, je place le bracelet numéro trois et perce le mois
et le jour du carnet de prélèvement bécassier. Cinq autres différentes mordorées sont découvertes
en cette belle et fructueuse matinée. La brume n’a heureusement pas envahi cet environnement et
s’est accrochée à celui méridional. La sixième s’élève au-dessus de sa tête dans une végétation très
propre. Son poids sera de trois cent cinquante sept grammes. Il sera de trois cent dix-neuf grammes
pour la troisième. Jeunes de l’année elles aussi.
Dix jours après, en ce chaud mois de décembre, d’une longue et large remise elle monte dans le ciel
après qu’une s’enfuit à quelques mètres et quelques minutes avant elle. Au ras du sol, je ne tire pas
ne sachant pas où Rocky se trouve, immobile près de la seconde donc. Encore une jeune de l’année
de trois cent cinq grammes. Une troisième s’enfuira loin, ne le laissant pas s’approcher de sa cache.
La veille de Noel, au bord de la piste, il se statufie et pénètre sous un clair buisson d’où elle s’envole
devant lui. Il la rapporte très vite, aucun obstacle visuel n’ayant caché sa vision. Cette jeune de
l’année pèsera trois cent vingt-six grammes.
A ce jour, Rocky Le Basque a arrêté vingt-quatre bécasses vues, la dernière entendue s’envoler
bruyamment à quelques mètres derrière une butte ! Etant toujours au contact et n’élargissant sa
quête que pour bloquer un oiseau qui a été décelé, peut-être que deux ou trois d’entre eux se sont
échappés, invisibles."
Maulandi Jean-Pierre (Académie Poétique Provençale) (Janvier 2023).